Le refuge Temple Ecrins
Refuge Temple Ecrins
Refuge Temple Ecrins - Thibaut Blais - Parc national des Ecrins
Saint-Christophe-en-Oisans

Le refuge Temple Ecrins

Flore
Histoire et architecture
Refuge
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Suite aux dégâts de la fin juin, la route d'accès à la vallée du vénéon, la RD 530, est régie par arrêté préfectoral : l'accès est interdit à partir de l'embranchement sur la RD 1091 jusqu'à La Bérarde. Une navette a été mise en place jusqu'à Saint-Christophe-en-Oisans Ville, mais l'accès à la Bérarde n'est toujours possible qu'à pied (et la visite du village interdite). Pour plus d'informations : https://www.oisans.com/catastrophe-naturelle-berarde-saint-christophe-en-oisans-venosc/  ou contactez l'office de tourisme de St Christophe : 04 76 80 50 01. 
Le Refuge Temple-Ecrins est en mode non gardé. 

L’itinéraire permet de rejoindre le refuge Temple Ecrins et offre un panorama grandiose sur les mythiques sommets des Ecrins, hauts lieux de l’alpinisme.
Une randonnée au décor himalayen qui longe le Vénéon et grimpe à travers les pins jusqu’au refuge Temple Ecrins situé au pied du glacier de la Pilatte et des sommets prestigieux des Ecrins.

Description

Depuis les bâtiments de la FFCAM et de la Maison de la Montagne  s'engager sur le sentier remontant le long du Vénéon en direction du refuge de Temple-Écrins (panneau). Le sentier grimpe progressivement en rive gauche du Vénéon sur près de 4 kilomètres en fond de vallée.
  1. Dépasser le refuge du Carrelet et prendre un peu après à gauche en direction du refuge de Temple-Écrins (panneau). La montée est soutenue, dans les bois du Carrelet, avec quelques grandes marches en pierre.
  2. Au sortir de la forêt, dans les pentes herbeuses, le paysage s'ouvre, le refuge est à 15 minutes.
  3. Le retour se fait par le même chemin.
  • Départ : La Bérarde
  • Arrivée : La Bérarde
  • Communes traversées : Saint-Christophe-en-Oisans

Les 20 patrimoines à découvrir

  • La Bérarde en Oisans et la vallée de la Pilatte, Laurent Guétal
    La Bérarde en Oisans et la vallée de la Pilatte, Laurent Guétal - © Musée de Grenoble
    Histoire

    La Bérarde en Oisans..., Laurent Guétal

    Du hameau de la Bérarde, il est possible de remonter le long du Vénéon pour parvenir jusqu'au refuge de la Pilatte. C'est probablement l'itinéraire qui inspira Laurent Guétal (1841-1892) pour son tableau La Bérarde en Oisans et la vallée de la Pilatte. Passé quarante ans, l'artiste parcourt inlassablement la Chartreuse, Belledone et l'Oisans. Considéré comme un des principaux peintres de paysages dauphinois de la seconde moitié du XIXe siècle, il transmettra sa passion de la montagne à de nombreux élèves, et notamment à Edouard Brun et Charles Bertier.
  • Trèfles saxatile
    Trèfles saxatile - PNE - Nicolas Marie-Geneviève
    Flore

    Trèfle saxatile

    Ce petit trèfle rare colonise les moraines et les gravières cristallines comme à la confluence du Vénéon avec la Romanche jusqu'au vallon du Chardon.  De couleur blanchâtre ou rosâtre ses fleurs sont très petites et portent des poils blancs qui leur donnent un aspect duveteux.

  • Savoir-faire

    Aménagement des sentiers

    Autour de La Bérarde, certains sentiers sont très fréquentés. Le passage des randonneurs, combiné à l'érosion naturelle parfois intense imposent certains aménagements réalisés par les techniciens du Parc national. On en trouve de plusieurs sortes : des rigoles permettant d’évacuer l'eau sur les côtés et ainsi éviter la transformation du chemin en torrent, des marches ou des dallages qui protègent le sol d'une érosion trop rapide par la pluie et facilite le passage du randonneur ainsi que des murets de soutènements. Tous ces ouvrages sont réalisés avec les matériaux trouvés sur place selon des méthodes traditionnelles.

  • Automne en Oisans, la Bérarde
    Automne en Oisans, la Bérarde - Thierry Maillet - Parc national des Ecrins
    Histoire

    Prémices d'un Parc national en 1913

    Au début du XXe siècle, la nécessité de protéger les versants montagneux du Haut Vénéon se fait jour pour limiter l’érosion des sols et les crues torrentielles que subissent la Romanche et son affluent le Vénéon. La déforestation et l’exploitation pastorale sont en cause à cette époque. Ainsi, en 1913, après de longues négociations l’État achète environ 4000 hectares de terrains à la commune de Saint-Christophe-en-Oisans pour en faire un « Parc national ». Le développement du tourisme et de l’alpinisme sous l’impulsion du CAF et de du Touring Club de France à partir de la seconde moitié du XIXe  siècle dans ce secteur de l’Oisans n’y est pas étranger non plus. L’inspecteur des Eaux et Forêts écrit alors que la création du Parc entraînera « des avantages pour la commune de Saint-Christophe aussi bien que pour le développement du tourisme en Dauphiné ». Ce Parc novateur, à l’époque, ne s’appuie sur aucun texte de Loi ni fondement réglementaire entraînant quelques floues comme le montre les différentes dénominations utilisées (Bérarde, Oisans, Pelvoux, etc).

  • Histoire

    Extension et limites du premier « Parc national »

    Localement le nom "Parc de la Bérarde" est évoqué. L’administration emploie parfois la dénomination de "Parc national de l’Oisans" jusqu’à l’acquisition de nouvelles parcelles sur Pelvoux en 1923 (vallée de Celse-Nière, glacier noir, glacier blanc…).  L’appellation de ce Parc qui concerne dorénavant les différents versants du massif du Pelvoux devient alors le « Parc national de Pelvoux ». L’extension du Parc au territoire du Valgaudemar se réalise en 1924, portant ainsi la surface de l’ensemble à près de 13 000 ha. En 1955, une réserve nationale de chasse est crée sur le périmètre du Parc national du Pelvoux. Malgré l’action des forestiers l’après-guerre n'est pas une période favorable pour le Parc national du Pelvoux qui connait des limites : peu de crédits financiers, absence d’un structure de gestion et quasi inexistence de travaux scientifiques. Le "Parc national des Ecrins" voit le jour le 27 mars 1973 dans le cadre de la loi de 1960, créant ainsi un véritable statut des Parcs nationaux français.

  • Histoire

    Surveillance, connaissance et aménagement du Parc de la Bérarde

    Le conservateur des Eaux et Forêts de Gap se souci de la surveillance de ce Parc et suggère le recrutement de guides du Pays comme gardes auxiliaires. « Ces bons alpinistes aideraient à la surveillance de la chasse, le Parc devant être une réserve de chamois de tout premier ordre…ils devront aider le service forestier pour l’étude et les travaux à faire dans le Parc ». Deux postes sont créés en 1927. Dans les années 1910, la demande de réintroduction du Bouquetins des Alpes auprès de l’administration italienne reste sans suite. En 1913, une autorisation de transports de grands tétras en provenance de Belgique est délivrée sans que l’on sache actuellement si les oiseaux furent relâchés dans le massif.

  • La route de la Bérarde
    La route de la Bérarde - PNE - Collection Tron Lucien
    Histoire

    Privilégier la nature

    Dans les premières années, le principe de laisser faire la nature prévaut face aux demandes de reboisement en mélèzes et pins cembro de certains forestiers. Malgré tout après la seconde guerre mondiale des terrains seront restaurés par le reboisement dans le Parc et sa proche périphérie. La présence des visiteurs n’a jamais été exclue et l’administration forestière réalise des aménagements touristiques. Il s’agit principalement d’ouvrages liés à l’alpinisme comme l’ouverture et la restauration de sentiers à l’image de ceux permettant l’accès aux refuges de Temple-Ecrins, la Pillate et Gioberney. Des subventions sont aussi accordées pour la construction de refuges. La route d’Ailefroide au Pré de Madame Carle est également ouverte en 1937-1938 à des fins touristiques.

  • La Vallée de la Pilatte, Laurent Guétal
    La Vallée de la Pilatte, Laurent Guétal - © Musée de Grenoble
    Histoire

    La Vallée de la Pilatte, Laurent Guétal

    Très tôt tourné vers la peinture de la nature, Laurent Guétal consacre à la montagne les dernières années de sa vie et ce sont les oeuvres peintes durant cette période qui firent sa popularité. Parmi elles, on trouve le Lac de l'Eychauda (1886), la Vallée d'Entraigues (1887) ou la Vallée de la Pilatte, tableau qu'il présente au Salon en 1888. Il est le premier a montré le vrai visage des Alpes dauphinoises, massif encore mal connu à l'époque.
  • Le plan du Carrelet et l'Ailefroide
    Le plan du Carrelet et l'Ailefroide - Cyril Coursier - Parc national des Ecrins
    Histoire

    La création du Parc national des Ecrins

    Lucien Devies, président de la Fédération Française de la Montagne et ancien Président du CAF écrit un plaidoyer dans la revue de décembre 1963 du CAF pour la création d’un « Parc national dans le Haut Dauphiné » sur le périmètre du massif des Ecrins. L’administration d’Etat prend alors le relais. Cependant, le projet de Parc dans les Pyrénées occupe les agents. Il faut donc attendre 1969 et une nouvelle intervention de Lucien Devis (toujours par l’intermédiaire de la revue du CAF) pour que le projet soit relancé. Une mission d’étude est alors confiée à Florent en 1971. Après plusieurs phases de consultation et de concertation avec les élus locaux, le décret portant la création du « Parc national des Ecrins »  est signé le 27 mars 1973 sur une surface de 91 800 ha protégés. Il s’agit du cinquième Parc national officiellement créé. D’autres suivront ; en 2013, la France compte 10 Parcs nationaux.

  • Le Vénéon à la Bérarde
    Le Vénéon à la Bérarde - PNE - Roche Daniel
    Eau

    Haut Vénéon

    C’est dans ce vallon que le torrent du Vénéon prend sa source donnant son nom à la vallée. À l’automne, puis en hiver et au printemps, les eaux du Vénéon prennent une remarquable couleur selon l’éclairage de la journée. Cette teinte si particulière s’explique par la forte minéralisation qui sature l’eau et renvoie les rayons lumineux. En effet, sous l’action de la fonte des neiges, l’eau ruisselle de tous côtés et lessive des particules fines de silice plus ou moins colorées et en partie dissoutes. Il suffit de recueillir un peu de cette eau, la laisser évaporer pour constater un dépôt à la texture très fine : la farine glaciaire.

  • Azuré du serpolet
    Azuré du serpolet - PNE - Grosselet Olivier
    Faune

    Azuré du serpolet

    Ce papillon aux ailes bleues tachetées de noir fréquente les pelouses montagnardes et confie aux fourmis le soin d’élever ses chenilles. Il dépose ses oeufs sur sa plante hôte, le serpolet, dont les boutons floraux nourrissent la chenille jusqu’à ce qu’elle se laisse tomber au sol. Les fourmis Myrmica prennent alors le relais. Elles sont attirées par le miellat que produit la chenille et la transportent jusqu’à la fourmilière pour la traire. La chenille devient carnivore et se nourrit de jeunes larves de fourmis sans être inquiétée. Elle hiberne ainsi jusqu’au printemps. Parvenue à maturité, elle se chrysalide dans la fourmilière. Le papillon éclot et sort rapidement rejoindre l’air libre pour assurer la reproduction de l’espèce.

  • Versant nord ouest d'Ailefroide
    Versant nord ouest d'Ailefroide - PNE - Roche Daniel
    Point de vue

    Conquête de l'Ailefroide

    Par son ampleur, sa hauteur, sa raideur, la conquête de la face nord-ouest de l'Ailefroide (vue impressionnante sur la face nord-ouest d'Ailefroide qui domine le plan du Carrelet, à 3954 m d'altitude) est comparable à la célèbre face nord des Grandes Jorasses d'après Devies. La première ascension s'effectua par la cordée Devies et  Gervasutti les 23 et 24 juillet 1936. Lors de la marche d'approche à partir du refuge de Temple-Ecrins, Gervasutti se cassa une côte, ce qui ne les empêcha pas de réaliser cette prestigieuse première.

  • Pin à crochet (arbre de droite)
    Pin à crochet (arbre de droite) - PNE - Nicollet Bernard
    Flore

    Pinède de pins à crochets

    La pinède de pins à crochets du Carrelet est considérée à juste titre comme une des plus haute d'Europe. En effet, elle occupe le versant jusqu'à 2400 m d'altitude. Elle se développe aussi vers le bas du fait de l'arrêt de  l'activité pastorale bovine du Carrelet au début des années 1970. Progressivement, la pelouse a été colonisée par une lande à genévrier nain qui favorise l'implantation du pin à crochets.

  • Pin à crochets
    Pin à crochets - PNE - Lévy Frédérique
    Flore

    Pin à Crochet

    Le pin à crochet est une essence d’altitude. Cet arbre se rencontre sur les versants ensoleillés jusqu’à 2450 m d’altitude. S'il peut atteindre localement jusqu’à 15 m de hauteur, il devient beaucoup plus court et tortueux, voir buissonnant, lorsque les conditions s’avèrent difficiles. Son enracinement est solide, c’est une espèce très frugale qui supporte une période de végétation très courte, le grand froid, la neige, la sécheresse, la luminosité d’altitude, le vent et le verglas. Il peut être utilisé comme essence de reboisement d’altitude en vue de protéger certains sols et de lutter contre les départs d’avalanche.

  • Le Plan du Carrelet
    Le Plan du Carrelet - © Parc national des Ecrins - Cyril Couriser
    Point de vue

    Plan du Carrelet

    Au croisement des vallons du Vénéon et du Chardon, le Plan du Carrelet est un vaste replat d'origine glaciaire. D'abord un lac au moment du retrait des glaciers, il fut peu à peu bouché par les sédiments descendant des pentes alentour pour former le vaste replat visible aujourd'hui. Bien irrigué par les nombreux torrents qui s'y rejoignent, il est exceptionnellement riche en flore notamment celle se plaisant dans les milieux humides et chamboulés telles que les rives d'un torrent. En début d'été, la floraison y est très impressionnante au milieu des pins à crochet, replantés au début du 20e siècle par les forestiers et qui sont aujourd'hui dominants.
    Le refuge du Carrelet implanté au centre du replat était un des plus anciens refuge du Club Alpin Français, sa construction datant de 1879. Il est maintenant privé et fermé au public.

  • Savoir-faire

    Maintenir les versants et les sentiers

    Le service de restauration des terrains en montagne (RTM), aujourd’hui rattaché à l’ONF, réalise depuis 1882 des travaux de génie civil pour lutter contre l’érosion dans les ravines aux abords du sentier d’accès au refuge de Temple-Écrins. Un suivi permanent et un entretien annuel important sont nécessaires au maintien des seuils, banquettes grillagées, plantations d’essences autochtones et engazonnements. Chaque année, les agents du Parc installent des passerelles temporaires pour le franchissement des torrents.

  • Col de la Temple
    Col de la Temple - Mireille Coulon - Parc national des Ecrins
    Col

    Passages d’altitude

    Le col de la Temple (à l'est de ce sentier), à 3 322 m d'altitude, constitue un passage relativement aisé entre la Vallouise et le Vénéon. La dernière pente d’accès au col est occupée par un petit glacier qui a beaucoup diminué ces dernières décennies. Le col semble dépourvu de glace, mais celle-ci est cachée par les éboulis. L’histoire raconte qu’autrefois, un homme d’église ait franchi ce col depuis la Vallouise pour venir célébrer une messe à la Bérarde. De nos jours, le col est principalement fréquenté par les alpinistes qui se rendent au Pic Coolidge situé à 3 774 m.

  • Camarine noire
    Camarine noire - Bernard Nicollet - Parc national des Ecrins
    Flore

    La camarine noire

    Empetrum nigrum hermaphroditum
    Cet arbrisseau prostré pousse dans les landes d’ubac, humides et ventées. Ses feuilles glabres sont persistantes, coriaces et très serrées. Ses petites fleurs roses donnent des baies rondes et noires à l'automne. En Islande, elles sont utilisées comme produit de consommation pour confitures et tartes.
  • Potentille à grandes fleurs
    Potentille à grandes fleurs - Bernard Nicollet - Parc national des Ecrins
    Flore

    La potentille à grandes fleurs

    Potentilla grandiflora
    Ses grandes fleurs jaunes, portées par une tige ramifiée, éclairent toutes les vires et petites pelouses suspendues où on la trouve ! Ses feuilles ont trois folioles dentés. Les pelouses et rocailles d’altitude constituent son habitat préférentiel.
  • Le refuge Temple-Ecrins
    Le refuge Temple-Ecrins - © Parc national des Ecrins - Jean-Pierre Nicollet
    Refuge

    Refuge Temple Ecrins

    Semi enterré sur un beau replat face aux plus beaux sommets du massif le refuge Temple-Ecrins tire son nom du col de la Temple un peu au-dessus et de la célèbre Barre des Écrins, point culminant du massif, qui le domine. Comme bien d'autres en Oisans le premier refuge fut bâti en 1925. Construit en bois un peu plus haut que le refuge actuel il fut entièrement emporté par une avalanche 13 ans plus tard. Il fallut alors attendre 1947 pour le voir reconstruit par l'oganisation "Jeunesse et Montagne". Facile d'accès il est l'objectif d'une belle randonnée familiale couronnée par un bon repas et le point de départ de courses alpines aussi célèbre que le col de la Temple, le Pic Coolidge ou la Face nord de la Barre.


Météo


Profil altimétrique


Zones de sensibilité environnementale

Le long de votre itinéraire, vous allez traverser des zones de sensibilité liées à la présence d’une espèce ou d’un milieu particulier. Dans ces zones, un comportement adapté permet de contribuer à leur préservation. Pour plus d’informations détaillées, des fiches spécifiques sont accessibles pour chaque zone.

Aigle royal

Nidification de l'Aigle royal

Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec l'Aigle royal en période de nidification sont principalement le vol libre et les pratiques verticales ou en falaise, comme l'escalade ou l'alpinisme. Merci d'éviter cette zone !

Attention en zone cœur du Parc National des Écrins une réglementation spécifique aux sports de nature s’applique : https://www.ecrins-parcnational.fr/thematique/sports-de-nature

Domaines d'activités concernés :
Aerien, Manifestation sportive, Vertical
Périodes de sensibilité :
janv.févr.marsavr.maijuinjuil.août
Contact :
Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr

Aigle royal

Nidification de l'Aigle royal

Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec l'Aigle royal en période de nidification sont principalement le vol libre et les pratiques verticales ou en falaise, comme l'escalade ou l'alpinisme. Merci d'éviter cette zone !

Attention en zone cœur du Parc National des Écrins une réglementation spécifique aux sports de nature s’applique : https://www.ecrins-parcnational.fr/thematique/sports-de-nature

Domaines d'activités concernés :
Aerien, Manifestation sportive, Vertical
Périodes de sensibilité :
janv.févr.marsavr.maijuinjuil.août
Contact :
Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr

Recommandations

En coeur de parc
Le Parc national est un territoire naturel, ouvert à tous, mais soumis à une réglementation qu’il est nécessaire de connaître pour préparer son séjour.


Lieux de renseignement

Maison du Parc de l’Oisans

Rue Gambetta, 38520 Le Bourg d'Oisans

http://www.ecrins-parcnational.fr/oisans@ecrins-parcnational.fr04 76 80 00 51

Présentation en image des richesses naturelles de l'Oisans et des métiers de montagne. Information, documentation sur le Parc, projections, coin lecture pour les enfants. Accessible aux personnes à mobilité réduite. Entrée libre. Toutes les animations du Parc sont gratuites sauf mention contraire.

En savoir plus

Office de tourisme de Saint-Christophe-en-Oisans / La Bérarde

, 38520 Saint-Christophe-en-Oisans - La Bérarde

http://www.berarde.com/infos@berarde.com04 76 80 50 01

Du 01/01 au 31/05, tous les jours de 14h à 17h. Fermetures exceptionnelles les 1er janvier, Lundi de Pâques, 1er novembre, 11 novembre et 25 décembre. Durant les vacances scolaires sauf le samedi, et les jours fériés. Ouvert pour l'Ascension et Pentecôte.

Du 01/06 au 30/06, tous les jours. Fermetures exceptionnelles les 1er janvier, Lundi de Pâques, 1er novembre, 11 novembre et 25 décembre. De 10h à 12h et de 15h à 18h.

Du 01/07 au 31/08, tous les jours. Fermetures exceptionnelles les 1er janvier, Lundi de Pâques, 1er novembre, 11 novembre et 25 décembre. De 9h30 à 12h30 et de 15h à 18h.

Du 01/09 au 30/09, tous les jours. Fermetures exceptionnelles les 1er janvier, Lundi de Pâques, 1er novembre, 11 novembre et 25 décembre. De 10h à 12h et de 15h à 18h.

Du 01/10 au 31/12, tous les jours de 14h à 17h.

Fermetures exceptionnelles les jours fériés. Durant les vacances scolaires sauf le samedi, les jours fériés et la semaine de Noël.

En savoir plus

Transport

Gare routière de Grenoble : 04 76 87 90 31
Transisère : 0820 08 38 38 / http://www.transisere.fr/
Les lignes 3000 & 3030 circulent entre Grenoble et Bourg d'Oisans. Depuis Bourg d'Oisans, la correspondance jusqu'à la Bérarde se fait alors par la ligne 3040.

Accès routiers et parkings

Depuis Bourg d'Oisans ou depuis la Grave, emprunter la D1091, puis la D530 en direction de Vénosc, et continuer jusqu'à la Bérarde. Durant l'hiver, la route est fermée à la circulation entre Champhorent et la Bérarde. Les hameaux des Etages et de la Bérarde sont alors isolés. Cette période varie en fonction des conditions d'enneigement. Pour joindre le Conseil Départemental 04 76 80 03 48 .

Stationnement :

Parking de la Bérarde

Source

Parc national des Ecrinshttps://www.ecrins-parcnational.fr

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