Tour du Champsaur VTT - 3 jours
Partir à la découverte du Champsaur sur des monotraces à la rencontre de paysages variés et bien ensoleillés fait partie de l'expérience de ce parcours. À chaque étape, le décor change radicalement alternant entre milieu alpin et influences méditerranéennes. De splendides paysages s'offrent sur la vallée et sur le Parc national des Écrins. Ce Tour ne laissera personne sur sa faim !
Description
L’ensemble du circuit, surtout en première partie, est assez roulant sans aucun passage réellement difficile ou technique. Les passages en fond de vallée déroulent tranquillement sur des pistes agricoles et de petites routes peu fréquentées. Les montées en forêt, parfois assez longues, se font heureusement à l’ombre et permettent de rejoindre les alpages de chaque versant. Les sentiers en balcon que l’on utilise alors, (surtout au cours de la très belle deuxième étape), traversent ou redescendent en singles tracks techniques et amusants. Ils occupent bien la journée, le mental et les muscles ! Les belles pauses panoramiques que l’on rencontre tout au long des passages physiques seront les bienvenues pour manger, contempler… ou faire la sieste !
- Départ : Ancelle
- Arrivée : Ancelle
- Communes traversées : Ancelle, La Bâtie-Neuve, Forest-Saint-Julien, La Rochette, Gap, Laye, La Fare-en-Champsaur, Poligny, Le Noyer, Chauffayer, Saint-Eusèbe-en-Champsaur, Les Costes, La Motte-en-Champsaur, Les Infournas, Bénévent-et-Charbillac, Saint-Bonnet-en-Champsaur, Saint-Julien-en-Champsaur, Saint-Michel-de-Chaillol, Saint-Jean-Saint-Nicolas, Champoléon, Orcières, Saint-Léger-les-Mélèzes et Chabottes
Les 36 patrimoines à découvrir
- Point de vue
Vue sur Gap
Au sud du Champsaur, la ville de Gap avec un peu plus de 40 000 habitants est la préfecture des Hautes-Alpes. Située à 700 m d’altitude sur un axe de communication important entre la Provence et les Alpes, elle bénéficie d’un ensoleillement généreux et de grands espaces naturels autour d’elle. En 2013, la ville de Gap est élue ville la plus sportive de France des villes de plus de 20 000 habitants par le journal L'Équipe.
- Histoire
Canal de Gap
Les travaux débutèrent en 1864 pour se terminer en 1880. D’une longueur de 28 km, il capte l’eau du Drac en amont de Pont du Fossé pour la déverser dans le bassin gapençais. Il aura coûté l’équivalent de 2 milliards de notre monnaie actuelle ! Le responsable des travaux, Maurice Garnier, député du département et concessionnaire, fit faillite et mourut dans la misère alors qu’il apporta le confort aux agriculteurs.
- Archéologie
Site archéologique de Faudon
D’un coup de pédale, on peut rejoindre, sous la Croix Saint Philippe, les vestiges du village Gallo-Romain de « Faudon » (montagne de fayards). Occupé à l’âge de bronze par les « Tricoriens » et ayant compté jusqu’à 400 habitants, ce village devint au Moyen-âge, une place forte pour les seigneurs locaux avant d’être abandonné au XVIIème siècle.
- Histoire
Ancienne voie ferrée du Champsaur
1912 vît le début des travaux du train du Champsaur, vieux projet d’une ligne entre Grenoble et Gap qui devait passer par le Champsaur. La section de la Mure à Corps, en service depuis 1932, rencontre un succès incontestable. De Corps à Gap, les terrassements et ouvrages d'art sont presque totalement réalisés. La guerre, le manque de moyens et le développement des automobiles mirent fin au projet en 1941. De nombreux ouvrages témoignent encore de ce passé sur le tracé.
- Faune
Le mouflon
En faisant un détour au col de Gleize, vous pourrez apercevoir des mouflons. Introduit depuis 1949 dans les Alpes à partir d’animaux de Corse et d’Europe centrale, cet ancêtre du mouton aux cornes d’ammonites semble bien installé sur le domaine de Chaudun. Même si l’Union Européenne recommande une protection stricte du mouflon, il reste tiré suivant un plan de chasse. Mal adapté aux conditions alpines extrêmes, ses populations peuvent fluctuer en fonction des hivers.
- Savoir-faire
L'ONF
L’action de l’Office National des Forêts ne se limite pas à l’exploitation forestière. Après avoir racheté de nombreux terrains suite à l’exode rural (parcelles domaniales) l’état délégua aux « Eaux et forêts » la difficile tâche de sauvegarder le patrimoine naturel de nombreuses communes (restauration de terrains et de bâtiments, entretien de sentiers etc…)
- Flore
Le sapin
100 mètres sous la cabane des Pierres, se trouve le plus vieux et le plus grand sapin du Champsaur. C’est un sapin commun ou sapin blanc (Abies alba). Il est souvent confondu avec l’épicéa (Picea abies). Petite astuce pour les différencier : l’épicéa a ses cônes qui pendent sous la branche et des aiguilles disposées tout autour du rameau, le sapin, quant à lui, a des cônes dressés et n’a que deux rangées d’aiguilles avec la particularité d’avoir deux petits traits blancs dessous.
- Faune
Le chevreuil
Avec ses forêts, le Noyer présente un milieu propice à l’expansion du chevreuil. Venus d’Italie, de l’Isère et de la Drôme, ils se sont rajoutés à une quarantaine d’individus lâchés entre 1969 et 1975 dans les forêts voisines de Durbon et du Morgon. Cet animal discret se reconnaît à son pelage brun roux et à sa tache blanche située à l’arrière de l’animal.
- Histoire
Dominique Villars
Le botaniste Dominique Villars est né au Noyer en 1745. Il s’intéressa très jeune à la botanique et, avec son ami, Dominique Chaix, curé botaniste de la Roche des Arnauds, il découvrit de nombreuses espèces nouvelles. Il rédigea « L’histoire des plantes du Dauphiné » regroupant 3000 espèces. Peu avant sa mort en 1814, il fut nommé par l’Empereur « professeur de botanique » à l’école spéciale de médecine de Strasbourg.
- Faune
Sonneur à ventre jaune
Entre les montagnes et le Drac, l'eau circule sous forme de torrent, de canaux d’irrigation et en profondeur dans les sédiments des terrasses fluvio-glacières sur lesquelles le bocage s'est installé. Au gré des couches de matériaux d'érosions plus ou moins grossiers et des couches d'argiles imperméables, des sources se forment et alimentent de petites mares . Le sonneur à ventre jaune est un petit crapaud qui apprécie ces habitats pour s’épanouir. L'espèce est en fort déclin sur l'ensemble de son aire de répartition, en raison de la raréfaction des milieux qu'elle affectionne. En cause figure l’assèchement, le drainage, la création de barrages , des travaux de terrassement ou de débardage... La population de ce petit amphibien est suivie par les agents du Parc national. - Flore
Le bocage champsaurin
Le paysage bocager du Bas Champsaur est unique dans les Hautes-Alpes. Son réseau de haies et de canaux qui entourent les parcelles a permis de maintenir une agriculture de qualité. Grâce au financement de la Région et de l’Europe pour entretenir ce patrimoine culturel et biologique, on peut y observer 70 espèces d’arbres et arbustes et plus de 80 espèces d’oiseaux.
- Histoire
Le Valgaudemar
La tradition attribue le nom de la vallée au chef burgonde « Gaudemar », qui s'y serait retiré au VIème siècle. Les « Gaudemarous » ont longtemps vécu d’une agriculture de survie et d’extraction minière. La conquête alpine arrive dans la moitié du XIXème siècle et le développement du tourisme dans les années 60. 30 sommets dépassent les 3000 m. Le point culminant, les Bancs (3669 m), ferme le fond de cette étroite et longue vallée glaciaire.
- Faune
Richesse ornithologique
Trente années d’inventaires attentifs ont permis de recenser 220 espèces d’oiseaux dans la vallée. Une richesse exceptionnelle qui tient tant à la variété des paysages (entre bocage, zones humides, forêts et haute montagne) qu’à la situation charnière du Champsaur : plus tout à fait nord-alpin, déjà bien ouvert sur le sud par les seuils de Manse et de Bayard, propice aux échanges et donc aux migrateurs tels aigrettes, sarcelles, kobez ou gobemouches … - Flore
Prairies de fauche
Lorsqu’elles n’ont pas été bouleversées par les techniques récentes de fertilisation et d’ensilage, elles abritent encore régulièrement une cinquantaine d’espèces végétales. Les plus emblématiques tels le narcisse des poètes, le salsifis des Alpes, la sauge des prés, le sainfoin, le trolle d’Europe rythment tour à tour les paysages de leurs variations colorées.
- Flore
Bocage
Le bocage, un paysage assez commun en France avant guerre mais qui a conservé ici, à plus de mille mètres d’altitude, une belle diversité. Un maillage de haies de culture, de prés et de bois qui se révèle très favorable à une multitude d’oiseaux. Parmi eux nombre de passereaux communs (pie grièches, tariers, bruants, cailles, torcols…) dont les effectifs en France déclinent parfois d’une manière inquiétante. La richesse n’est donc pas faite que de raretés !
- Histoire
Chapelle des Pétêtes
Cette chapelle est une curiosité, en même temps qu’une œuvre remarquable de l’art populaire. Les « Petêtes » sont ici des poupées. On raconte qu'en l’an 1730, un berger du nom de Pascal, qui était aussi maçon à ses heures, se mit à tailler des pierres. Tout l’hiver, il tailla ses pierres et quand il eut assez buriné, il creusa la terre puis plaça pierre sur pierre. Quand il eut terminé, le hameau de l’Aubérie possédait une coquette chapelle de montagne. Mais notre mystérieux berger avait ménagé dans la façade de la chapelle des sortes de niches. A nouveau, il se mit à travailler la pierre, avec plus de minutie et d’amour, car c’était à des statues qu’il travaillait. Après 11 années de travail, il finit son ouvrage en 1741, date à laquelle il plaça une croix monumentale devant la chapelle. - Géologie et géographie
Les Infournas
La localité se compose de deux hameaux :
- les Infournas-bas, ancien chef-lieu de la commune, avec la mairie et l'église, situé à 1 245 m.
- les Infournas-hauts, point de départ de randonnées en montagne, s'élève à 1 373 m.
L'accès à la vallée du Drac, axe vital de la région, ne peut se faire que par deux routes sinueuses, l'une au nord-ouest vers Chauffayer, qui se trouve à 10 km, l'autre au sud
vers Saint-Bonnet-en-Champsaur, à 7 km. La majeure partie du territoire est constitué par les pentes inhospitalières et fortement ravinées du Cuchon et du Queyron. Au sud, les bois constituent sa seule vraie richesse. - Architecture
Architecture du Champsaur
Les paysages d’aujourd’hui et les maisons ne sont pas le fruit du hasard. Ils portent la trace de l’homme qui, moins animé du souci de faire de belles choses que d’une volonté fonctionnelle rigoureuse, a trouvé les meilleures relations qu’il convenait d’avoir avec son pays. Dans la partie nord-sud de la vallée du Drac, région ventée par la bise souvent froide, on connaissait le bocage et les bâtiments sont très serrés, avec un mur pratiquement aveugle au Nord. Sur les balcons de l’est comme à St-Michel-de-Chaillol ou St-Julien-en-Champsaur, on recherche le soleil : la façade présente souvent un vaste porche. - Histoire
Toponymie du "Champsaur"
Le nom "Champsaur" connaît une douzaine d’origines. L ‘étymologie la moins vraisemblable est évidemment la plus jolie est celle de « champ d’or » car Napoléon se serait écrié en découvrant le pays « quel beau champ d’or !". On trouve aussi le "champ des lézards" (sauros en grec signifie « lézard ») ou le "champ des Sarrasins" (campus sauracenorum) à cause des nombreuses invasions de ces derniers . Mais l’étymologie la plus probable viendrait de "campus saurus", le champ ou la campagne de Saurus, nom du propriétaire de l’époque. - Géologie et géographie
Le Vieux Chaillol
Très visible du Champsaur et au-delà de Gap, le Vieux Chaillol est constitué comme le massif des Ecrins de roches granitiques issues du socle de l’ère primaire qui ont surgi rapidement il y a environ 5 millions d’années. Mais les roches du Vieux Chaillol ont subi une recristallisation particulière et se sont transformées en conglomérats et schistes métamorphiques.
- Flore
Le pin sylvestre
Le pin sylvestre se reconnaît à son long tronc brun rougeâtre et sa ramure peu fournie. Les aiguilles, gris-vert, légèrement recourbées, sont regroupées par 2. Il a besoin de beaucoup de soleil et se contente d’un sol pauvre et sablonneux qui ne convient pas aux autres arbres. Son bois est léger et de bonne qualité.
- Petit patrimoine
La chapelle des Roranches
Édifiée en 1780 sur l'emplacement d'une ancienne chapelle dédiée à Notre Dame de l'Assomption la chapelle des Roranches est dédiée à Saint-Pancrace, protecteur des animaux domestiques. De facture architecturale modeste elle est très représentative des petits édifices cultuels du bocage champsaurin ou, comme souvent en montagne les matériaux utilisés ont été extrait sur place. Elle fait l'objet de deux campagnes de restauration depuis 2013 accompagnées par le Parc national des Ecrins. La première s'est attachée à la stabilisation de la voûte en plein cintre et à la réfection de la charpente et couverture dans son matériau d'origine, l'ardoise. La seconde campagne à permis de restaurer les enduits extérieurs et intérieurs et leurs badigeons, les vitraux et les planchers.
- Faune
Le Circaète Jean le Blanc
Ce rapace se reconnaît à sa tête volumineuse, son envergure respectable (1.80m) et à son plumage blanc sous les ailes et le corps. Malgré sa taille, il mange peu de petits mammifères. Son alimentation se compose surtout de lézards et de serpents. Quand il chasse, sa position en vol, face au vent, est caractéristique : vol statique, les ailes déployées en « Saint Esprit »
- Petit patrimoine
Les Richards
Perché à 1548 m d'altitude au-dessus du Pont-du-Fossé sur la commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas, le hameau des Richards est un havre de tranquillité. La vue est splendide sur les deux Autanes et le bocage champsaurin. C'est un départ de randonnée très prisé pour les balcons ou le sommet du Palastre et un décollage de vol libre pour les adeptes du vol de distance. Il n'est pas rare qu'un pilote se pose à Grenoble et parfois même à Chamonix après une longue journée de vol au départ des Richards ! Le record est de 162 km avec un atterrissage à Chamonix en 2002.
- Faune
Le bouquetin
En remontant quelques minutes en fond de vallée, vous pourrez observer des bouquetins. En septembre 1994 fut lâchée à Champoléon, une trentaine de bêtes provenant de la Vanoise par les agents du Parc national des Ecrins. Plus lourd (100 kg) et moins farouche que le chamois, ce superbe animal, proche de la chèvre domestique, a manqué de disparaître des Alpes. Totalement protégé en France, il est à présent sauvé de l’extinction.
- Histoire
Les Borels
C’est le bourg le plus important de la commune de Champoléon (il n’y a pas de hameau portant ce nom). Jusque vers la guerre de 1914, la vallée vivait forcément en circuit fermé pour tout ce qui était nécessaire à la vie de tous les jours. Aux Borels on trouvait un tisserand (laine et chanvre ), un meunier-boulanger, un forgeron, un maçon, un culottière et dans les autres hameaux, un sabotier, deux meuniers, un scieur, un menuisier-ébéniste, deux cordonniers. Ces derniers travaillaient à domicile. - Petit patrimoine
La Maison du Berger
Fondée en mémoire du berger et écrivain Pierre Mélet, la Maison du berger est un centre d'interprétation et de recherche sur les cultures pastorales alpines. C’est un lieu d'accueil et de médiation culturelle pour tous les publics. On y trouve une exposition, des animations pédagogiques pour les scolaires mais aussi une bibliothèque pour les professionnels et les chercheurs et une boutique.
- Pastoralisme
Les prés de fauche
La plupart des prairies de la vallée sont fauchées. Elles sont « fumées » modérément avec les bêtes qui pâturent au printemps et un apport de fumier. Ces parcelles sont riches en espèces végétales : trolles, géraniums, narcisses…Les prés qui ne sont que pâturés se recouvrent de grandes plantes délaissées par le bétail : asphodèles, gentianes jaunes, vératres…
- Histoire
Serre-Eyraud
Serre-Eyraud est à la fois un village de montagne et une petite station de sports d'hiver qui surplombe le Champsaur et la confluence du Drac Noir et du Drac Blanc, à 1450m d'altitude, face à la vallée de Champoléon.
La station a été créée en 1962 par une poignée d'habitants : 8 pistes sont tracées au milieu d'une forêt de mélèzes en exposition nord, favorable à une bonne conservation de la neige. Serre-Eyraud est la plus petite des stations de ski de la vallée du Champsaur. - Savoir-faire
Plantes du pastoralisme
Autour des cabanes de bergers on trouve des plantes peu colorées mais utiles en cuisine : l’ortie dioïque, urticante, mais que l’on utilise pour faire des soupes succulentes, l’épinard sauvage ou « chénopode bon-henri » se consomme en gratin (les fameuses oreilles d'âne) avec les feuilles acides de l’oseille alpine. En dessert, les pétioles des feuilles de la rhubarbe des moines servaient, cuites, à faire des confitures et des compotes.
- Faune
La truite
Les amateurs de pêche ont toujours apprécié le Drac. Il faut être aussi randonneur pour suivre son court ou rejoindre les lacs d’altitude. Qu'on les pêche au "coup", à la "cuillère" ou à la "mouche", on trouvera ici deux types de truites : la « fario » (Salmo trutta), autochtone de la souche méditerrannéenne, et la truite « arc en ciel » (Oncorhynchus mykiss) originaire d’Amérique du Nord.
- Histoire
Orcières 1850
Grâce à Camille Ricou, maire d’Orcières, et quelques visionnaires, c’est en janvier 1962 que naquit officiellement la station d’Orcières–Merlette. Rapidement, les immeubles, magasins et remontées se construisent. Même si l’architecture des années 60 a vieilli et que les pylônes enlaidissent les alpages, les anciens ont gagné leur pari, ils sont restés « au pays », ont assuré l’avenir de leurs enfants et ont créé des emplois.
- Faune
Le Patou
Il est de nouveau très employé dans les alpages par les éleveurs et les bergers depuis le retour du loup. Son rôle est de protéger les moutons, pas de les rassembler comme le chien de berger. On l'habitue très tôt à vivre avec eux pour qu’il les considère ensuite comme sa famille. Il aboie et s'interpose entre le troupeau et ce qu'il considère comme une menace. Etant très protecteur pour le troupeau, le promeneur devra veiller à s'en tenir éloigné.
- Point de vue
Alpage de Combeau
L'alpage de Combeau situé à 2000 m d’altitude.
Ne manquez pas le superbe panorama de la Croix de Combeau. - Faune
Le triton alpestre
Dans la réserve d'eau de Libouze, nouvellement restaurée par la commune de Saint Léger les Mélèzes, vous pourrez observer un joli batracien nager élégamment. C’est un triton alpestre. On le reconnaît à son ventre orangé, mais à la différence des femelles, le mâle à des côtés plus clairs avec de grandes taches sombres et une étroite rayure bleu clair. Cette espèce strictement protégée se raréfie en plaine, aux marges de sa distribution.
- Géologie et géographie
Le plateau d’Ancelle
Après le recul des glaciers venant de la Durance et de la Roanne, les moraines frontales et latérales formèrent un barrage naturel au bout du bassin d’Ancelle. Un grand lac glacière se créa progressivement. Entre le Vème et le VIème siècle, le lac se vida. La forêt envahit alors le plateau fertile et ce n’est qu’au VIIIème siècle que les hommes le déforestèrent pour des cultures.
Météo
Profil altimétrique
Zones de sensibilité environnementale
Aigle royal
Nidification de l'Aigle royal
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec l'Aigle royal en période de nidification sont principalement le vol libre et les pratiques verticales ou en falaise, comme l'escalade ou l'alpinisme. Merci d'éviter cette zone ! Et de privilégier un survol de la zone à une distance de survol de 300m sol soit à une altitude minimale de 2240m.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive, Vertical
- Périodes de sensibilité :
- janv.févr.marsavr.maijuinjuil.août
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Circaète Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale 300m sol quand vous survolez la zone soit 1900m d'altitude pour cette zone.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Aigle royal
Nidification de l'Aigle royal
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec l'Aigle royal en période de nidification sont principalement le vol libre et les pratiques verticales ou en falaise, comme l'escalade ou l'alpinisme. Merci d'éviter cette zone et de privilégier un survol de la zone à une distance de survol de 300m sol soit à une altitude minimale de 2450m.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive, Vertical
- Périodes de sensibilité :
- janv.févr.marsavr.maijuinjuil.août
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Aigle royal
Nidification de l'Aigle royal
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec l'Aigle royal en période de nidification sont principalement le vol libre et les pratiques verticales ou en falaise, comme l'escalade ou l'alpinisme. Merci d'éviter cette zone et de privilégier un survol de la zone à une distance de survol de 300m sol soit à une altitude minimale de 2100m.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive, Vertical
- Périodes de sensibilité :
- janv.févr.marsavr.maijuinjuil.août
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Aigle royal
Nidification de l'Aigle royal
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec l'Aigle royal en période de nidification sont principalement le vol libre et les pratiques verticales ou en falaise, comme l'escalade ou l'alpinisme. Merci d'éviter cette zone et de privilégier un survol de la zone à une distance de survol de 300m sol soit à une altitude minimale de 2450m.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive, Vertical
- Périodes de sensibilité :
- janv.févr.marsavr.maijuinjuil.août
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Faucon pèlerin
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Faucon pèlerin en période de nidification sont principalement le vol libre et les pratiques verticales ou en falaise, comme l'escalade ou l'alpinisme. Merci d'éviter cette zone !
En cas de survol merci de rester au-dessus de 1960m d’altitude à une distance de 300m sol.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Vertical
- Périodes de sensibilité :
- févr.marsavr.maijuin
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Faucon pèlerin
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Faucon pèlerin en période de nidification sont principalement le vol libre et les pratiques verticales ou en falaise, comme l'escalade ou l'alpinisme. Merci d'éviter cette zone !
En cas de survol merci de rester au-dessus de 2200m d’altitude à une distance de 300m sol.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Vertical
- Périodes de sensibilité :
- févr.marsavr.maijuin
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Faucon pèlerin
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Faucon pèlerin en période de nidification sont principalement le vol libre et les pratiques verticales ou en falaise, comme l'escalade ou l'alpinisme. Merci d'éviter cette zone !
En cas de survol merci de rester au-dessus de 2080m d’altitude à une distance de 300m sol.
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Vertical
- Périodes de sensibilité :
- févr.marsavr.maijuin
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Circaète Jean-le-Blanc
Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1560m d'altitude !
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Circaète Jean-le-Blanc
Nidification du Circaète-Jean-le-Blanc
Les pratiques qui peuvent avoir une interaction avec le Circaète-Jean-le-Blanc en période de nidification sont principalement les pratiques aériennes comme le vol libre ou le vol motorisé.
Merci d’essayer d’éviter la zone ou de rester à un distance minimale de 300m sol quand vous la survolez soit 1520m d'altitude !
- Domaines d'activités concernés :
- Aerien, Manifestation sportive
- Périodes de sensibilité :
- marsavr.maijuinjuil.aoûtsept.
- Contact :
- Parc National des Écrins
Julien Charron
julien.charron@ecrins-parcnational.fr
Tétras lyre - hiver
- Domaines d'activités concernés :
- Manifestation sportive, Terrestre
- Périodes de sensibilité :
- janv.févr.marsavr.déc.
- Contact :
- Fédération départementale des chasseurs des Hautes-Alpes :
Pierre-Frédéric Galvin : pierre-frederic.galvin@fdc05.com
Membre de l'Observatoire des Galliformes de montagne
Virginie Dos Santos : ogm.vds@gmail.com
Blandine Amblard : ogm.amblard@gmail.com
Tétras lyre - hiver
- Domaines d'activités concernés :
- Manifestation sportive, Terrestre
- Périodes de sensibilité :
- janv.févr.marsavr.déc.
- Contact :
- Fédération départementale des chasseurs des Hautes-Alpes :
Pierre-Frédéric Galvin : pierre-frederic.galvin@fdc05.com
Membre de l'Observatoire des Galliformes de montagne
Virginie Dos Santos : ogm.vds@gmail.com
Blandine Amblard : ogm.amblard@gmail.com
Recommandations
Parcours plus agréable à faire plutôt à l’automne (pour l'ambiance et les couleurs) qu’au printemps car les passages techniques sont plus roulants, plus « nettoyés » après les passages des randonneurs de la saison estivale.
Bien s’entraîner avant d’aborder 3 jours de vtt en montagne !
En alpage, les chiens de protection sont là pour protéger les troupeaux des prédateurs (loups, etc.).
Lorsque je randonne, j’adapte mon comportement en contournant le troupeau et en marquant une pause pour que le chien m’identifie.
En savoir plus sur les gestes à adopter avec le dossier Chiens de protection : un contexte et des gestes à adopter.
En cas de problème, racontez votre rencontre en répondant à cette enquête.
Lieux de renseignement
Maison du Tourisme du Champsaur & Valgaudemar
Les Barraques, 05500 La Fare en Champsaur
Transport
SNCF à Gap ou Grenoble, puis cars journaliers.
Accès routiers et parkings
En venant de Gap, d’abord la N85 puis la D 944 et enfin la D13.
En venant de Grenoble, après St Bonnet, la D114 et la D514.
Stationnement :
Source
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